CLOTILDE ROUSSEAU

CLOTILDE ROUSSEAU

Jusqu’au confins du possible ou de l’impossible telle pourrait être son credo bien que la sensualité l’enveloppe à chaque instant, alors visons la vision de l’impossible en toute féminité à fleur de peau. Elle sait partager cette douceur mêlée à la force, suggérant la séduction sans jamais trop en dévoiler.

Une vie doit être débordante de passions.
Elle est trop courte pour que l’on se contente de n’en vivre qu’une seule. Elle cite les propos de Romy Schneider
« Je veux apprendre, me développer, découvrir tout ce qui est en moi. »

Bien que tentée par le monde de l’audiovisuel, la musique l’a rattrapée. Un appareil argentique à 20 ans, elle enchaînait les reportages familiaux , voyages etc. il fallait attendre les développement c’était parfois long, quel en serait le résultat ce que l’oeil a vu ce que la pellicule donnera.

A l’ère du numérique , elle a enchaîné les différents appareils compacts, le bridge, le téléphone et utilisera le fameux compte « Instagram » pour partager ses émotions.
Exposer à nouveau lui semble intéréssant, sans oser vraiment et pourtant quel talent.

Les fonctionnalités du téléphone sont assez restreintes pour un photographe.
Par la suite au travers de rencontres amicales avec des photographes amateurs en partageant la même passion elle a réinvesti dans un reflex numérique.
« l’envie d’attraper la vie au vol « …

« J’aime photographier ce qui se passe dans le quotidien ou dans l’extraordinaire, que cette photo raconte une histoire une personne au naturel, regard, sourire, joie, peine, l’instant présent celui qui ne sera plus là la seconde suivante.»
C’est totalement réussi.

Particulièrement sensible aux émotions et à la sensualité que dégage une femme elle déclare avoir toujours cette soif de partager avec le public cette douceur mêlée à la force, suggérer la séduction sans jamais trop en dévoiler.

L’autoportrait lui permet de travailler et d’aller chercher la sensation que ressent le model quand il est devant l’objectif, provoquant une sorte de « titillement » agréable, celui qui donne le frisson, qui déclenche le désir tout simplement.

@artsmarseille @clotyld Instagram #photography #sensualité #femme #douceurs

JULIE AMIGUES

JULIE AMIGUES

Photographe passionnée depuis 25 ans, ma sensibilité et ma vision photographique sont assez singulières.

Je cherche le moment furtif qui permet d’exprimer une émotion précise, un ressenti, plus qu’une image. 

Constamment à l’affut, je suis une observatrice née et mon travail photographique est la traduction de cette quête.

Pour se faire, j’utilise et manipule la lumière pour exprimer ma réalité. Je m’attache à isoler un aspect particulier du sujet pour lui donner tout son sens. C’est ce que je fais avec les corps. Ils sont ma matière et je vais dessiner avec la lumière.

Par ailleurs, mon approche photographique se concentre sur la plastique de la ligne et la distorsion ou la transfiguration du réel. 

La matière n’est jamais brute, elle est exprimée au travers d’un prisme. J’ai besoin de me l’approprier, de la digérer pour la donner enfin aux regards.

Pourquoi avoir participé à cette exposition ? Peut être le contre-pied d’une réalité, celui du regard pas toujours bienveillant des hommes sur les femmes et notamment celui de la féminité ou de la sensualité qui pourtant fait partie de nous au joli sens du terme. 

Au travers de ces quelques clichés que vous découvrirez dans la future exposition,  je souhaite  que les femmes se réapproprient  leur beauté et leur féminité. 

Elles sont sexy et elles assument. Elles seront nues et en mouvement comme nous le sommes toutes si on nous ne l’interdit pas. Elles reprennent le pouvoir sur leur vie  et le regard des autres leur importe peu.

 C’est  peut être aussi ce que nous ressentons pour la plupart d’entre nous, depuis le mouvement Metoo.

 

@artsmarseille @julie_amigues_photographe   #photography #photographie  #portrait #architecture  #land

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DEVAKY SIVADASAN  Cheffe chez  « MAMA SPICE »

DEVAKY SIVADASAN Cheffe chez « MAMA SPICE »

 

Devaky partage avec nous dans sa parfumerie d’épices, les goûts de son pays, un mélange unique d’Orient et d’Occident essence même de sa vie. À travers ses créations Mama Spice nous apporte un mélange subtil d’émotions et de saveurs l’une ne se substituant jamais à l’autre. 

Avec harmonie les deux se rejoignent dans des nuances  mesurées, fusionnant sensuellement, tout en conservant leurs identités uniques à part entière. Le résultat en sera de nouvelles saveurs et de subtiles arômes entre les « Épices indiennes » et les « Aromates provençales ».

À sa Table, Eco-responsable, un peu particulière puisqu’elle à choisit de respecter certains critères sublimant ces épices, les utilisant avec talent, Devaky vous accueille dans son univers, merveilleux, incitant ses clients à se retrouver et se ressourcer. 

Le lieu se situe au cœur de Marseille,  24 rue Sylvabelle, adresse magique  sous l’appellation « Mama Spice ».  Sa passion pour les épices et la cuisine, lui permet de créer des plats qui relient les différentes cultures avec ouverture d’esprit autour de ses mets délicats. 

Sa cuisine raconte l’histoire de son voyage personnel de l’Inde à la France et incarne sa vision des femmes et de sa diaspora. Née indienne, elle s’identifie plutôt comme citoyenne du monde. Cette douce et jolie Cheffe  apprécie cette idée du mélange, Marseille est devenue son terrain de jeu. Ville de brassage de genres, de milieux, de couleurs.

Bien entendu il faut avoir le courage de bousculer, beaucoup de choses, de faire tomber certaines barrières, que ce soit dans la vie courante comme en cuisine. C’est pourquoi elle à voulut faire de son restaurant  un lieu intimiste, chic et épuré loin des stéréotypes du restaurant indien que nous connaissons.

Seul souvenir  du passé, une cocotte minute ramenée d’Inde qui fait le lien avec son histoire et lui rappelle chaque jour la chance qu’elle a d’être devenue une femme libre de ses  choix. Elle est arrivée avec six mois d’épices, du riz, des lentilles et un baby- chou dans les bras serré contre elle.  Apeurée avant le départ de ce long voyage vers l’inconnu, qu’on ne la laisse pas partir vers sa destinée et la liberté à laquelle toute femme à droit.   

Loin de son milieu social haut de game, éducation hors norme caste privilégiée, père diplomate mère aimante.   Mariée a un imposteur richissime, il lui a fallut beaucoup de courage pour s’enfuir avec une petite boule de chair son fils, chose la plus précieuse de sa jeune vie gâchée par un homme oublieux, de la délicatesse due à une femme quelque soit la culture ou le milieu social et sociétal. 

L’humain prédomine chez elle j’irais jusqu’à utiliser le beau terme d’humanisme, car elle aime la nature humaine malgré tout et se bat loin de son pays pour le respect des droits des femmes encore bafouées au 21 ème. 

Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat avec « Mama Spice » Devaky a repris des études supérieures, puis a travaillé 13 ans chez « Airbus Helicopter’s »  en  France proche de Marseille,  où elle a occupé des fonctions importantes dans des postes stratégiques.  Directrice de la coopération industrielle au sein de l’équipe “task force » qui a créé la  filiale indienne.   Elle a déployé  la première plateforme de capitalisation au travers de la connaissance technique d’un  bureau d’études  « d’Airbus Helicopter’s. » 

Cette jeune femme a plusieurs cordes à son arc.  Elle  est également membre du conseil d’administration de la  prestigieuse « Société WERT International ».

Mais ce qui la caractérise tout comme Vanessa robuschi elle est  une jeune femme énergique et douce et remplie d’amour. Bel exemple pour tout le monde que la force tranquille de ses deux cheffes.

 

@artsmarseille.com #arts #creativity  @devaky sivadasan @Cheffe @Cuisine @Saveurs @Épices @Culture @ Inde 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ESTELLE CESAR

ESTELLE CESAR

 

Lorsque j’ai rencontré cette jeune femme ce qui m’a particulièrement interpellée, c’est sa constance. Son intérêt pour la photo au sens général du terme est intéressant, mais ce qui la caractérise va au-delà.

En particulier sa pugnacité pour arriver à ses fins, au cliché qui la satisfasse…

Quelle constance faire et refaire jusqu’a ce que le résultat soit à la hauteur de ses espérances.

Pour l’avoir déjà vue en reportages photos en shooting, j’ai compris très vite son attachement au beau travail bien fait.

 Elle excelle plus particulièrement  dans le paysage la macro, l’archi  ainsi qu’un travail très personnel sur la matière… Allez voir ses gouttes. Fabuleux exercice. 

Certes les photos réalisées pour l’exposition  lui ont demandé beaucoup d’imagination et j’avoue l’avoir, avec délicatesse, poussé à sortir d’elle même.

L’humain, la femme, ne sont pas ses sujets de prédilection.

Elle est plus proche des paysages ou de l’architecture. 

Et pourtant dans cette série d’autoportraits qu’elle a conçus, ce fut pour elle comme l’impression de créer un double… Au travers d’une fiction, d’une chimère.

Chimère, donc,  imagination, courir après une ombre, bref à nouveau la course à la perfection toujours plus, toujours mieux. Tel est le monde, mais doit-on pourtant devenir des robots et passer à côté de notre âme.

 Je vous encourage à la suivre tout simplement parce que si elle est citadine, elle se revendique totalement Marseillaise.  

@artsmarseille.com @Esther Cesar  @photography @photographie #gouttes #architecture #paysages #country

 

 

 

 

@artsmarseille.com #arts #creativity  @Estelle Cesar 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

IRIS HOFMANN

IRIS HOFMANN

«Dans nos traditions religieuses, le féminin représente toujours l’autre, la frontière du groupe. Il y a quelque chose, à travers le féminin, qui raconte l’ouverture du corps social, à l’extérieur à soi, à l’étrangeté. Garder les femmes couvertes, où une propriété sur les frontières de leur corps, c’est symboliquement, contrôler les frontières du groupe. Et s’assurer qu’aucune solution étrangère ne viendra le contaminer. »

Delphine HORVILLEUR, Rabbine. in Ouest-France, 6-7 juin 2020.

Fabuleuse Cette femme complètement dans le 3ème Millénaire.

Pour ce qui concerne Iris elle est  née à Berlin ouest en 1967. Elle vit actuellement en France, partagée entre la Bretagne et la Charente. Elle a appris la danse dès l’âge de six ans, pratiqué toutes les disciplines inhérentes à cet art.  

La danse moderne, jazz, le hip hop, le classique, le flamenco, la danse orientale, les claquettes et la danse africaine. puis certaines danses folkloriques des pays de l’Est.

Elle précise s’être construite à travers la danse, la posture ainsi que la présence physique.

Son  parcours professionnel s’enrichit d’autres expériences et dans les années 2000 elle commence un autre parcours en s’intéressant  au monde de l’équitation.

Vingt ans après, elle apprécie toujours de travailler avec des purs sang anglais en tant que spécialiste ostéopathe afin de les préparer pour les courses, tout en s’efforçant de comprendre leur morphologie athlétique, et en analysant leurs mouvements musculaires afin d’appréhender leurs conditions physiques et mentales.

En parallèle depuis 2018,  j’ai entrepris un travail photographique sur mon propre corps. Un long et patient travail concernant le corps nu photographié au travers de ma propre vision. Mais j’ai réalisé que la photographie de mon corps ne me plaisait pas.

J’ai ensuite chercher à comprendre ma démarche,  comment continuer de tolérer  mon corps vieillissant.  Il est devenu le sujet de mes photographies à part entière, comme une étude sociologique sur le corps de la femme.

Comment assumer le vieillissement, tout en comprenant malgré tout sa force de séduction.

J’ai commencé par me réfugier derrière des accessoires, des poses étudiées,  jouant avec la lumière et l’ombre, un décor improvisé un lieu.  j’ai petit à petit accepté, ma présence sur le cliché.

Par la suite j’ai compris que ma démarche s’ouvrirait à des thèmes divers mais néanmoins tous liés à l’image de la femme.  Le quotidien domestique, la situation du désir, son positionnement dans le cadre du travail,  la représentation que le monde s’en fait objet de fantasmes, l’image que l’autre se fait dans la relation plus intime tout en s’efforçant malgré l’attirance entre deux êtres de garder son indépendante et sa liberté. »  N’est-ce pas la femme du 3ème millénaire!!!

@artsmarseille.com #arts #danse @irishofmann

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vanessa ROBUSCHI  Cheffe

Vanessa ROBUSCHI Cheffe

Installée depuis fin 2008 dans le quartier de « La Vieille Chapelle » à Marseille son  restaurant « Question de Goût »…. Était son terrain de jeu, avant que le Covid19 ne classe leur métier dans le « non essentiel de ce pays. »  Depuis sa participation à Top Chef en 2015. Elle se qualifie comme « Une Cheffe intuitive, spontanée ». Sans limite dans sa créativité « autant côté sucré que salé ». 

« Les produits et mes humeurs sont mes seuls guides dit-elle avec modestie. J’aime mon métier dans son entièreté, de la cuisine en passant par la salle, et l’œnologie jusqu’au bar. J’aime que les choses soient liées entre elles de manière à avoir un sens, de même que la restauration est devenue le sens de ma vie. »

Elle est issue d’une famille de restaurateurs. Elle a entrepris des études en architecture, poussant jusqu’à la licence et elle a vite compris qu’elle ne pouvait s’épanouir qu’en faisant plaisir aux gens par le biais de la cuisine.  Son envie de  cuisiner est « innée » dit-elle encore.

« J’ai tout plaqué et j’ai recommencé mes études. J’ai eu la chance de faire mon apprentissage chez Gérald Passedat au « Petit Nice » à Marseille. J’y ai appris rigueur et  hiérarchie qui règnent dans une cuisine. La brigade et son organisation militaire collaient totalement avec ma personnalité» reconnaît celle qui pratique la boxe française. Elle correspond tout à fait à la jeune femme moderne pep’s, sportive et pleine d’allant.  La demoiselle qui habite en son sein devra s’adapter à sa maman sportive. Quelle belle jeune femme me suis-je dit en la laissant parler de ses passions. 

Pour revenir à elle  …  J’avais trouvé ma voie explique-t-elle.

Ensuite, elle a rejoint Lionel Lévy au restaurant « Une Table au Sud » à Marseille sur le Vieux-Port. « C’est un peu mon papa en cuisine. »  Il a fait plus que lui transmettre des techniques et des recettes, il lui a ouvert l’esprit à la créativité. C’est grâce à lui que je me suis libérée dit-elle encore.

Puis l’émission Top Chef  lui a fait prendre confiance en elle d’après Philippe Etchebest  « c’est une guerrière. »  Elle a acceptée avec une belle générosité de participer à cette future exposition  qui mettra en valeur  « La femme du 3ème millénaire ». Suivez-la, dans quelques jours nous la retrouverons comme une des nombreuses très belles femmes Marseillaises qui ont offert avec générosité leur talent pour sublimer les femmes. Elle nous montrera par son art et sa créativité à quel point les femmes de la Provence sont extraordinaires. Elle sera en compagnie de ces 6 photographes marseillaises accompagnées par deux  messieurs photographes eux aussi. Vous découvrirez, sa complice du moment  » Devaky Sivadasan. » qui allie avec tant d’audace les épices indiennes et provençales. 

J’ai le plaisir de vous présenter une jeune femme talentueuse et  qui a accepté de se prêter avec humour,  il y a quelques temps, à une séance de photographie montrant que l’on peut être Cheffe féminine et belle à souhait.

N’est-ce pas La Femme du 3ème millénaire !!!

 

 

Crédits photo Titiart photographe

 

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