Jean Paul Cotte

Jean Paul Cotte

Arts Marseille a de nouveau, le plaisir de travailler avec un des photographe Marseillais, le plus imaginatif de ces dernières années, Vous connaissiez mon attachement pour lui.

La place des Canailles, le cercle des nageurs l’Agence de Celine It-Com vous propose une nouvelle aventure, ceci pour 3 semaines.

Le lieu, « Les Docks Villages » un espace occupé par la place des canailles à « GrandPlace » l’avant dernière cour, vous pourrez y  voir cette très sympathique exposition, pleine de fantaisie, dans un lieu exceptionnel dédié pendant 8 mois à la convivialité et au plaisir des retrouvailles.

Pour nous réconcilier avec ce nouveau monde, de l’après C19. 

 Nous avons choisi d’exposer un travail particulièrement décalé  sur les nageurs du Cercle lieu emblématique de notre ville.

  « BLUE PISCINE » sera une manière originale de montrer et le talent du photographe et la gentillesse de ses futurs champions et championnes.

L’exposition s’appelle donc « BLUE PISCINE » une vision métaphorique de la création artistique, de l’idée qui prend naissance dans l’esprit de l’artiste, comme une fécondation, et la série que nous mettrons sur les murs vous emmènera, nous l’espérons, vers un univers on ne peut plus décalé très « Esprit canaille ». 

ET ceci, grâce au cercle des nageurs, cette eau si familière ici, fait partie de notre univers, et nous est si chère.

Alors puissions-nous vous faire rêver d’un ailleurs qui nous emmènera dans un monde presque normal.

« Nous sommes convaincus que l’art sauvera le monde, à l’instar de Fiodor Dostoïevski . »

 Un  vernissage aura lieu dans le respect du protocole sanitaires Arts Marseille et le photographe seront présents. Ainsi que l’équipe de la Place des Canailles et l’agence de Celine-ItCom

Welcome.

Un petit rappel de la bio de JEAN-PAUL COTTE.

Né en 1972 à MARSEILLE, Il y réside toujours. Sa vie professionnelle lui laisse du temps pour la photographie une activité qu’il à découvert tout à fait par hasard, devenue par la suite une passion.

il donne par ailleurs des cours de photo grâce à son atelier le « Symbolon. »

Au départ, il réalisait avant tout des portraits, notamment de comédiens et d’artistes en général, pour alimenter leur book.

Il a également réalisé des photos de scènes, de comédies, de danses…

Il aime aussi la photo urbaine, prend plaisir à immortaliser des lieux atypiques tels que des sites architecturaux ou industriels.

Il photographie aussi volontiers des rues, des paysages, avec parfois des mises en scène insolites ou décalées, comme cette fameuse photographie de  » barby  » jeune femme en maillot de bain, debout sur un banc d’abribus, ou dans d’autres situations il s’arrange pour qu’elle se fonde avec humour et délicatesse dans le décor que l’on voit derrière elle en transparence : la mer bien souvent, mais pas que.

Lorsqu’il s’arme de son appareil photo, la démarche est pour l’artiste toujours la même ; au gré de ses promenades, il va s’arrêter sur un sujet qui n’a pas une valeur émotionnelle ou esthétique particulière, et c’est là que commence pour lui l’enjeu artistique. 

À partir de cette base neutre, Jean-Paul recrée un univers coloré et lumineux, teinté de surréalisme. 

Ces clichés offrent alors un spectacle tout à fait différent de la réalité brute, il s’agit d’une transformation du réel invisible vers quelque chose d’onirique, tel un parallèle à la sublimation psychanalytique.

Comme il le dit,  «La photo peut indifféremment être le témoin de la réalité ou le fruit d’une totale errance onirique» et, c’est ce qu’il aime.

Ses sources d’inspiration sont multiples : elles vont du cinéma avec le réalisateur Wes Anderson, à la peinture – Caravage, Gustave Caillebote, David Hockney, Giorgio de Chirico, René Magritte, Georges Seurat… –

En passant bien évidemment par la photographie, domaine artistique dans lequel il admire, entre autres, le travail de Raymond Depardon, Désirée Dolron ou encore David LaChapelle.

Les images de Jean-Paul Cotte, à la fois captivantes et modernes, ont déjà captivé un large public.

Son œuvre a ainsi été exposée lors de différents salons d’art photographique de la cité phocéenne mais aussi lors de festivals. Et régulièrement avec ArtsMarseille. 

Jean-Paul y a démontré l’étendue de son talent en croquant, sur le vif et l’air de rien, le portrait de différentes générations de femmes, sous un angle exclusivement féminin. 

Tout comme il a shooté ses futurs champions en les prenant dans leur univers et en les imaginant dans un tout autre.

 

#Placedescanailles  #Lecercledesnageurs #jeanpaulcotte #nageurs #champions #art #photographie #Docks-villages

Tiphaine De Belenet  Artiste – Peintures et dessins

Tiphaine De Belenet Artiste – Peintures et dessins

En 1984 elle obtient une maitrise de droit privé à l’université de Bordeaux, son univers semblait tout tracé. Mais parfois la vie réserve des surprises. Un mariage, une famille des enfants etc.  

Le cours naturel des choses normalement …  

Dès 1975 elle commence par l’apprentissage du dessin et de la peinture selon la méthode Martenot (Rouen). (apprentissage des méthodes d’aquarelles pastel acrylique huiles encres crayons).

Bretonne d’origine elle est arrivée à Marseille en suivant la progression professionnelle de son mari médecin militaire. Ayant un peu plus de temps, elle revient vers son art et ses envies. 

 

De 2005 à 2008, elle reprends les cours des ateliers publics des Beaux Arts de Marseille. Quelques expositions collectives ou individuelles s’en suivront…. 

« Ambiance Méditerranéennes. »  

Mai 2015.  Mairie du deuxième arrondissement de Marseille «Terre de soleil ».

Fevrier 2020 Avignon « Cueilleurs d’étoiles » 

Novembre 2017 Versailles « Entre mers et terres ».

Expositions collectives :  

Fevrier 2010 «Pour un sourire d’enfant ». 

Juin 2011 Salon des peintres et des sculpteurs – Palais Longchamp. 

Octobre 2013. Exposition à la mairie du 8ème arrondissement  de Marseille

Novembre 2018  « couleurs d’ambiance ». 

Mars 2019  Atelier Cézanne Marseille (67 ème prix de la critique).

Novembre 2019 Exposition Vœux d’artistes. 

C’est au travers de ce choix par  « Voeux d’artistes »  qu’elle s’est sentie légitime enfin dans ses choix.

Elle nous dit apprécier notre ville car elle aime bien les villes des bords de mer, la beauté des façades, la luminosité de celle-ci.  

On la comprends d’autres grands peintres ne s’y sont pas trompés de ceux du Nord qui sont descendus chez nous, jusqu’au grand « Cézanne et tant d’autres. »

Ses « Arlésiennes » ne sont qu’un pâle reflet de son talent. 

N’hésitez pas à prendre contact avec elle pour en savoir plus. 

 http:www.tiphainedebelenet .wixsite.com/ peinturesdebelenet 

 

L’idée d’un carnet de croquis à germé dans notre esprit et elle peut être fière du résultat accomplit. 

C’est au travers de  cette exposition que nous vous présentons cet exemplaire unique, et si nous aimerions, permettre à un plus grand nombre, de pouvoir le posséder, il reste un essai, comprenez que c’est une partie intime de l’artiste, car normalement, ces croquis étaient destinés à ses enfants et petits enfants.

  Nous sommes ravies de vous le présenter ce carnet de croquis, le soir du vernissage un peu comme un cadeau de sa part. Nous espérons vivement pouvoir le faire imprimer si nous avons beaucoup de commandes.

ArtsMarseille 06 80 98 52 70  instagram artsmarseille_ Fcbk artsmarseille.com 

Tiphaine De Belenet 06 84 19 48 77 instagram 

Et bien entendu la Maison Montgrand est heureuse de l’accueillir en son sein comme beaucoup d’autres artistes.

 

   
     
 

@artsmarseille.com

Muriel MONTAGARD PENICA

Muriel MONTAGARD PENICA

Muriel est passionnée d’art et notamment de peintures, puis de photographies, elle a  beaucoup arpenté les musées. Elle s’est essayée  à la peinture, pendant quelques temps.

Mais son média de prédilection reste  la photo souvenir doux comme un premier amour transmis, entre autre, par son père. Partage d’heures passées avec lui  dans la chambre noire, joli  temps de l’argentique.

Ce qui l’intéresse c’est l’humain, mini scénarios qu’elle invente ou qu’elle découvre, le hasard fait parfois bien les choses. Conter  une histoire susciter de l’émotion, est ce qu’elle recherche dans ses photographies. Elle alterne noir et blanc et couleur. Deux visions différentes, d’aborder la photo, proposant une autre dimension  intemporelle.

Son travail excelle dès qu’elle est dans la rue. Un simple aperçu ici, à retrouver d’une manière plus complète sur son site instagram et sa page Fcbk. Nous en retiendrons émotion et originalité un joli travail de qualité, à suivre absolument. Muriel Montagard Penica

@artsMarseille.com #LAFEMME2021 #femmesdu3èmemillenaire

https://www.facebook.com/marseilleinmyeyes/

https://www.instagram.com/marseille_in_my_eyes/

@artsmarseille.com

HANNIBAL RENBERG  leoleoparis

HANNIBAL RENBERG leoleoparis

Hannibal a pratiqué, la photographie argentique. Un Leica très jeune pour commencer. Son seul joujou est désormais, son phone pour capter les scènes de rue. Le fait d’utiliser un téléphone lui permet de prendre des instants de vie des « impressions de rue ».

Il faut néanmoins préciser que si nous sommes de plus en plus nombreux à utiliser nos téléphones nous n’en sommes pas pour autant des photographes.

Il ne faut pas confondre nos photos qui sont des instants de vie, et quel bonheur et le monde de la photographie. Encore moins les confondre avec celles nommées, à juste titre Artistiques, certaines  seront appelées, à perdurer, de manière si différentes, soit sur les murs d’une exposition, et nous le souhaitons; ou ceux d’un particulier, collectionneur ou pas, amateur de beau ou encore qui le sait, d’un musée, ou retrouveront leurs places, dans des portfolios ou des sites.

Alors comment faire la différence entre une photo d’amateur si belle soit-elle et les photos dites d’art.. .En fait, être photographe, c’est un œil particulier, être en capacité intellectuelle de saisir immédiatement le bon angle, la belle attitude, la pose. De les capter au sens de « captation » en « live »

Hannibal Renberg fait partie, lui ,d’une génération du tout numérique, mais si il est passé du Leica à son smartphone c’est d’abord en allant de surprise en surprise et en constatant la qualité des photos, bref que son oeil était aussi certain malgré le changement d’appareil.

Emile Zola, Louis Aragon, Max-Pol Foucher, Pierre-Jean Jouve, Jean-Paul Sartre, Albert Londres, Blaise Cendrars et tous les poètes qui ont arpenté Paris ou Marseille ont écrit, décrit, raconté ce qu’ils voyaient, ce qu’ils ressentaient.

Hannibal Renberg s’est senti une même envie, toutes proportions gardées, avec le désir aussi de faire partager ses émotions, son humour, sa dérision par l’image. Ses photos intemporelles et hors de tout contexte local n’ont d’intérêt que par leque le spectateur leur porte. Un reflet de notre société. Sans autre ambition que d’étonner …
De faire passer des émotions de revenir à l’essentiel.

 

@Les Docks Village @ArtsMarseille.com  #artsmarseille @leoleoparis Instagram #photography #street #life #LaFemme2021 #Femmesdi3ème millénaire. #vie

CELINE SILVESTRE

CELINE SILVESTRE

Marseillaise d’adoption depuis 18 ans. Elle commence par observer et puis sort de sa réserve naturelle, pour appréhender la photographie de rue.

Son attirance est normale, elle s’y sent plus à l’aise libre d’elle même. Son appareil fait partie intégrante de sa vie. Toujours à portée de main. Ses balades l’emmènent vers des lieux magiques ou pas, car sa curiosité naturelle est toujours à l’affut d’un joli cliché pas forcement celui attendu mais celui qu’elle fera instinctivement.

Si elle y prends autant de plaisir, c’est parce qu’elle se laisse porter par ses envies, entre autre de saisir l’instant.

Tout ce qui s’offre à sa vue. Puis elle va s’immobiliser parfois, respirer, cadrer et déclencher. Et voilà ce qui nous donnera des photos aussi naturelles que faire se peut et d’une beauté folle des photos humaines. En quête d’une couleur, d’une lumière, d’une posture ou d’un mouvement. C’est une première pour elle, il a fallu la convaincre car elle est modeste et c’est justement ce qui m’émerveille chez elle.

Peut être viendra t-elle un peu ici, ce média n’est pas son univers et pourtant je peux vous assurer que son compte instagram est bien suivi.

Certainement parce qu’il y a beaucoup d’humanité dans ses clichés. À vous de voir mais si vous êtes Marseillais venez voir cette exposition sur #Lesfemmesdu3èmemillénaire #lafemme2021

@Les Docks Village @ArtsMarseille.com @Celine Silvestre. 

Volontairement pas de photos de l’exposition, juste histoire de vous donner l’envie de savoir comment elle a  représenté la femme…de son siècle .

@artsmarseille @celine silvestre  Instagram #photography #street

#LaFemme2021 #Femmesdi3ème millénaire. #couleurs #vie

EPHEMERE

Le projet « EPHEMERE » présenté ici sous forme de Work in Progress, est un projet en cours, personnel, et collaboratif.
Je vais le présenter en quelques lignes :

Pourquoi « EPHEMERE » ?

Ce projet n’a eu un nom que tardivement, « EPHEMERE » finalement comme une évidence, car tout ce que je fais sur ce projet est éphémère, la séance d’abord, qui ne dure que quelques heures, mais aussi le stylisme, toute la partie tissus, modelage, mise en forme est éphémère, une fois la séance terminée, les tissus reprennent leur place, sans autre forme que le travail de plissé qui les caractérisent.

Collaboratif, car plusieurs personnes travaillent ou sont à l’origine du projet:

Tout d’abord MLBL- ArtsMarseille.com qui m’a suggéré l’idée de travailler sur ce thème. Par son écoute, sa compréhension et connaissance de mon travail et de la photographie, sa croyance en mes capacités (comme celles de Claire et Véronique et comme celles des modèles qui m’ont fait confiance), par sa générosité, m’a aiguillé, m’a permis de donner un axe à mon travail, et finalement de vous proposer ces photographies.
Claire et Véronique des « Filles d’Hortensia », pour la réalisation des plissés, de leur aide, et de leur soutien depuis longtemps maintenant, et enfin les modèles qui sont toutes des modèles amateurs, mais de grande qualité, car ce sont grâce à elles que le tissus prend forme, se sont elles qui gèrent toute la partie stylisme du projet fiction de leur ressenti face au tissus.

La génèse d’ « EPHEMERE »

« EPHEMERE » est né du constat que je pouvais mélanger deux parties de mon travail photographique, à savoir le portrait est notamment le portrait de femme, et mon travail sur les tissus plissés qui a été réalisé à l’occasion de l’exposition « L’art des Plis » de Claire Raphaël qui m’y avait invité.
Le travail que je réalise sur ce projet, consiste à demander aux modèles, de s’emparer des tissus plissés que l’on me prête, afin de les mettre en forme, de créer et de trouver une esthétique (dans le mouvement, la pose, la forme qu’on lui donne et évidemment par la lumière) lorsqu’il sera porté par elles. Mettre donc en valeur le tissu, mais également mettre en valeur ces modèles par le tissu qu’elles portent en essayant de faire quelque chose de différent à chaque fois. De mon côté, une fois le stylisme validé, il me revient la tâche de mettre le modèle et le tissu en valeur sous mes lumières, et par mon approche, mon regard et ma sensibilité.

Chacun de ces éléments compose la photographie que je réalise, et sans l’un de ces facteurs, elle n’existe pas !

 

VOIR LA VIDÉO SUR YOUTUBE OU CLIQUEZ CI-DESSOUS >

CLOTILDE ROUSSEAU

CLOTILDE ROUSSEAU

Jusqu’au confins du possible ou de l’impossible telle pourrait être son credo bien que la sensualité l’enveloppe à chaque instant, alors visons la vision de l’impossible en toute féminité à fleur de peau. Elle sait partager cette douceur mêlée à la force, suggérant la séduction sans jamais trop en dévoiler.

Une vie doit être débordante de passions.
Elle est trop courte pour que l’on se contente de n’en vivre qu’une seule. Elle cite les propos de Romy Schneider
« Je veux apprendre, me développer, découvrir tout ce qui est en moi. »

Bien que tentée par le monde de l’audiovisuel, la musique l’a rattrapée. Un appareil argentique à 20 ans, elle enchaînait les reportages familiaux , voyages etc. il fallait attendre les développement c’était parfois long, quel en serait le résultat ce que l’oeil a vu ce que la pellicule donnera.

A l’ère du numérique , elle a enchaîné les différents appareils compacts, le bridge, le téléphone et utilisera le fameux compte « Instagram » pour partager ses émotions.
Exposer à nouveau lui semble intéréssant, sans oser vraiment et pourtant quel talent.

Les fonctionnalités du téléphone sont assez restreintes pour un photographe.
Par la suite au travers de rencontres amicales avec des photographes amateurs en partageant la même passion elle a réinvesti dans un reflex numérique.
« l’envie d’attraper la vie au vol « …

« J’aime photographier ce qui se passe dans le quotidien ou dans l’extraordinaire, que cette photo raconte une histoire une personne au naturel, regard, sourire, joie, peine, l’instant présent celui qui ne sera plus là la seconde suivante.»
C’est totalement réussi.

Particulièrement sensible aux émotions et à la sensualité que dégage une femme elle déclare avoir toujours cette soif de partager avec le public cette douceur mêlée à la force, suggérer la séduction sans jamais trop en dévoiler.

L’autoportrait lui permet de travailler et d’aller chercher la sensation que ressent le model quand il est devant l’objectif, provoquant une sorte de « titillement » agréable, celui qui donne le frisson, qui déclenche le désir tout simplement.

@artsmarseille @clotyld Instagram #photography #sensualité #femme #douceurs

JULIE AMIGUES

JULIE AMIGUES

Photographe passionnée depuis 25 ans, ma sensibilité et ma vision photographique sont assez singulières.

Je cherche le moment furtif qui permet d’exprimer une émotion précise, un ressenti, plus qu’une image. 

Constamment à l’affut, je suis une observatrice née et mon travail photographique est la traduction de cette quête.

Pour se faire, j’utilise et manipule la lumière pour exprimer ma réalité. Je m’attache à isoler un aspect particulier du sujet pour lui donner tout son sens. C’est ce que je fais avec les corps. Ils sont ma matière et je vais dessiner avec la lumière.

Par ailleurs, mon approche photographique se concentre sur la plastique de la ligne et la distorsion ou la transfiguration du réel. 

La matière n’est jamais brute, elle est exprimée au travers d’un prisme. J’ai besoin de me l’approprier, de la digérer pour la donner enfin aux regards.

Pourquoi avoir participé à cette exposition ? Peut être le contre-pied d’une réalité, celui du regard pas toujours bienveillant des hommes sur les femmes et notamment celui de la féminité ou de la sensualité qui pourtant fait partie de nous au joli sens du terme. 

Au travers de ces quelques clichés que vous découvrirez dans la future exposition,  je souhaite  que les femmes se réapproprient  leur beauté et leur féminité. 

Elles sont sexy et elles assument. Elles seront nues et en mouvement comme nous le sommes toutes si on nous ne l’interdit pas. Elles reprennent le pouvoir sur leur vie  et le regard des autres leur importe peu.

 C’est  peut être aussi ce que nous ressentons pour la plupart d’entre nous, depuis le mouvement Metoo.

 

@artsmarseille @julie_amigues_photographe   #photography #photographie  #portrait #architecture  #land

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DEVAKY SIVADASAN  Cheffe chez  « MAMA SPICE »

DEVAKY SIVADASAN Cheffe chez « MAMA SPICE »

 

Devaky partage avec nous dans sa parfumerie d’épices, les goûts de son pays, un mélange unique d’Orient et d’Occident essence même de sa vie. À travers ses créations Mama Spice nous apporte un mélange subtil d’émotions et de saveurs l’une ne se substituant jamais à l’autre. 

Avec harmonie les deux se rejoignent dans des nuances  mesurées, fusionnant sensuellement, tout en conservant leurs identités uniques à part entière. Le résultat en sera de nouvelles saveurs et de subtiles arômes entre les « Épices indiennes » et les « Aromates provençales ».

À sa Table, Eco-responsable, un peu particulière puisqu’elle à choisit de respecter certains critères sublimant ces épices, les utilisant avec talent, Devaky vous accueille dans son univers, merveilleux, incitant ses clients à se retrouver et se ressourcer. 

Le lieu se situe au cœur de Marseille,  24 rue Sylvabelle, adresse magique  sous l’appellation « Mama Spice ».  Sa passion pour les épices et la cuisine, lui permet de créer des plats qui relient les différentes cultures avec ouverture d’esprit autour de ses mets délicats. 

Sa cuisine raconte l’histoire de son voyage personnel de l’Inde à la France et incarne sa vision des femmes et de sa diaspora. Née indienne, elle s’identifie plutôt comme citoyenne du monde. Cette douce et jolie Cheffe  apprécie cette idée du mélange, Marseille est devenue son terrain de jeu. Ville de brassage de genres, de milieux, de couleurs.

Bien entendu il faut avoir le courage de bousculer, beaucoup de choses, de faire tomber certaines barrières, que ce soit dans la vie courante comme en cuisine. C’est pourquoi elle à voulut faire de son restaurant  un lieu intimiste, chic et épuré loin des stéréotypes du restaurant indien que nous connaissons.

Seul souvenir  du passé, une cocotte minute ramenée d’Inde qui fait le lien avec son histoire et lui rappelle chaque jour la chance qu’elle a d’être devenue une femme libre de ses  choix. Elle est arrivée avec six mois d’épices, du riz, des lentilles et un baby- chou dans les bras serré contre elle.  Apeurée avant le départ de ce long voyage vers l’inconnu, qu’on ne la laisse pas partir vers sa destinée et la liberté à laquelle toute femme à droit.   

Loin de son milieu social haut de game, éducation hors norme caste privilégiée, père diplomate mère aimante.   Mariée a un imposteur richissime, il lui a fallut beaucoup de courage pour s’enfuir avec une petite boule de chair son fils, chose la plus précieuse de sa jeune vie gâchée par un homme oublieux, de la délicatesse due à une femme quelque soit la culture ou le milieu social et sociétal. 

L’humain prédomine chez elle j’irais jusqu’à utiliser le beau terme d’humanisme, car elle aime la nature humaine malgré tout et se bat loin de son pays pour le respect des droits des femmes encore bafouées au 21 ème. 

Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat avec « Mama Spice » Devaky a repris des études supérieures, puis a travaillé 13 ans chez « Airbus Helicopter’s »  en  France proche de Marseille,  où elle a occupé des fonctions importantes dans des postes stratégiques.  Directrice de la coopération industrielle au sein de l’équipe “task force » qui a créé la  filiale indienne.   Elle a déployé  la première plateforme de capitalisation au travers de la connaissance technique d’un  bureau d’études  « d’Airbus Helicopter’s. » 

Cette jeune femme a plusieurs cordes à son arc.  Elle  est également membre du conseil d’administration de la  prestigieuse « Société WERT International ».

Mais ce qui la caractérise tout comme Vanessa robuschi elle est  une jeune femme énergique et douce et remplie d’amour. Bel exemple pour tout le monde que la force tranquille de ses deux cheffes.

 

@artsmarseille.com #arts #creativity  @devaky sivadasan @Cheffe @Cuisine @Saveurs @Épices @Culture @ Inde 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ESTELLE CESAR

ESTELLE CESAR

 

Lorsque j’ai rencontré cette jeune femme ce qui m’a particulièrement interpellée, c’est sa constance. Son intérêt pour la photo au sens général du terme est intéressant, mais ce qui la caractérise va au-delà.

En particulier sa pugnacité pour arriver à ses fins, au cliché qui la satisfasse…

Quelle constance faire et refaire jusqu’a ce que le résultat soit à la hauteur de ses espérances.

Pour l’avoir déjà vue en reportages photos en shooting, j’ai compris très vite son attachement au beau travail bien fait.

 Elle excelle plus particulièrement  dans le paysage la macro, l’archi  ainsi qu’un travail très personnel sur la matière… Allez voir ses gouttes. Fabuleux exercice. 

Certes les photos réalisées pour l’exposition  lui ont demandé beaucoup d’imagination et j’avoue l’avoir, avec délicatesse, poussé à sortir d’elle même.

L’humain, la femme, ne sont pas ses sujets de prédilection.

Elle est plus proche des paysages ou de l’architecture. 

Et pourtant dans cette série d’autoportraits qu’elle a conçus, ce fut pour elle comme l’impression de créer un double… Au travers d’une fiction, d’une chimère.

Chimère, donc,  imagination, courir après une ombre, bref à nouveau la course à la perfection toujours plus, toujours mieux. Tel est le monde, mais doit-on pourtant devenir des robots et passer à côté de notre âme.

 Je vous encourage à la suivre tout simplement parce que si elle est citadine, elle se revendique totalement Marseillaise.  

@artsmarseille.com @Esther Cesar  @photography @photographie #gouttes #architecture #paysages #country

 

 

 

 

@artsmarseille.com #arts #creativity  @Estelle Cesar