Jean Paul Cotte

Jean Paul Cotte

Arts Marseille a de nouveau, le plaisir de travailler avec un des photographe Marseillais, le plus imaginatif de ces dernières années, Vous connaissiez mon attachement pour lui.

La place des Canailles, le cercle des nageurs l’Agence de Celine It-Com vous propose une nouvelle aventure, ceci pour 3 semaines.

Le lieu, « Les Docks Villages » un espace occupé par la place des canailles à « GrandPlace » l’avant dernière cour, vous pourrez y  voir cette très sympathique exposition, pleine de fantaisie, dans un lieu exceptionnel dédié pendant 8 mois à la convivialité et au plaisir des retrouvailles.

Pour nous réconcilier avec ce nouveau monde, de l’après C19. 

 Nous avons choisi d’exposer un travail particulièrement décalé  sur les nageurs du Cercle lieu emblématique de notre ville.

  « BLUE PISCINE » sera une manière originale de montrer et le talent du photographe et la gentillesse de ses futurs champions et championnes.

L’exposition s’appelle donc « BLUE PISCINE » une vision métaphorique de la création artistique, de l’idée qui prend naissance dans l’esprit de l’artiste, comme une fécondation, et la série que nous mettrons sur les murs vous emmènera, nous l’espérons, vers un univers on ne peut plus décalé très « Esprit canaille ». 

ET ceci, grâce au cercle des nageurs, cette eau si familière ici, fait partie de notre univers, et nous est si chère.

Alors puissions-nous vous faire rêver d’un ailleurs qui nous emmènera dans un monde presque normal.

« Nous sommes convaincus que l’art sauvera le monde, à l’instar de Fiodor Dostoïevski . »

 Un  vernissage aura lieu dans le respect du protocole sanitaires Arts Marseille et le photographe seront présents. Ainsi que l’équipe de la Place des Canailles et l’agence de Celine-ItCom

Welcome.

Un petit rappel de la bio de JEAN-PAUL COTTE.

Né en 1972 à MARSEILLE, Il y réside toujours. Sa vie professionnelle lui laisse du temps pour la photographie une activité qu’il à découvert tout à fait par hasard, devenue par la suite une passion.

il donne par ailleurs des cours de photo grâce à son atelier le « Symbolon. »

Au départ, il réalisait avant tout des portraits, notamment de comédiens et d’artistes en général, pour alimenter leur book.

Il a également réalisé des photos de scènes, de comédies, de danses…

Il aime aussi la photo urbaine, prend plaisir à immortaliser des lieux atypiques tels que des sites architecturaux ou industriels.

Il photographie aussi volontiers des rues, des paysages, avec parfois des mises en scène insolites ou décalées, comme cette fameuse photographie de  » barby  » jeune femme en maillot de bain, debout sur un banc d’abribus, ou dans d’autres situations il s’arrange pour qu’elle se fonde avec humour et délicatesse dans le décor que l’on voit derrière elle en transparence : la mer bien souvent, mais pas que.

Lorsqu’il s’arme de son appareil photo, la démarche est pour l’artiste toujours la même ; au gré de ses promenades, il va s’arrêter sur un sujet qui n’a pas une valeur émotionnelle ou esthétique particulière, et c’est là que commence pour lui l’enjeu artistique. 

À partir de cette base neutre, Jean-Paul recrée un univers coloré et lumineux, teinté de surréalisme. 

Ces clichés offrent alors un spectacle tout à fait différent de la réalité brute, il s’agit d’une transformation du réel invisible vers quelque chose d’onirique, tel un parallèle à la sublimation psychanalytique.

Comme il le dit,  «La photo peut indifféremment être le témoin de la réalité ou le fruit d’une totale errance onirique» et, c’est ce qu’il aime.

Ses sources d’inspiration sont multiples : elles vont du cinéma avec le réalisateur Wes Anderson, à la peinture – Caravage, Gustave Caillebote, David Hockney, Giorgio de Chirico, René Magritte, Georges Seurat… –

En passant bien évidemment par la photographie, domaine artistique dans lequel il admire, entre autres, le travail de Raymond Depardon, Désirée Dolron ou encore David LaChapelle.

Les images de Jean-Paul Cotte, à la fois captivantes et modernes, ont déjà captivé un large public.

Son œuvre a ainsi été exposée lors de différents salons d’art photographique de la cité phocéenne mais aussi lors de festivals. Et régulièrement avec ArtsMarseille. 

Jean-Paul y a démontré l’étendue de son talent en croquant, sur le vif et l’air de rien, le portrait de différentes générations de femmes, sous un angle exclusivement féminin. 

Tout comme il a shooté ses futurs champions en les prenant dans leur univers et en les imaginant dans un tout autre.

 

#Placedescanailles  #Lecercledesnageurs #jeanpaulcotte #nageurs #champions #art #photographie #Docks-villages

Tiphaine De Belenet  Artiste – Peintures et dessins

Tiphaine De Belenet Artiste – Peintures et dessins

En 1984 elle obtient une maitrise de droit privé à l’université de Bordeaux, son univers semblait tout tracé. Mais parfois la vie réserve des surprises. Un mariage, une famille des enfants etc.  

Le cours naturel des choses normalement …  

Dès 1975 elle commence par l’apprentissage du dessin et de la peinture selon la méthode Martenot (Rouen). (apprentissage des méthodes d’aquarelles pastel acrylique huiles encres crayons).

Bretonne d’origine elle est arrivée à Marseille en suivant la progression professionnelle de son mari médecin militaire. Ayant un peu plus de temps, elle revient vers son art et ses envies. 

 

De 2005 à 2008, elle reprends les cours des ateliers publics des Beaux Arts de Marseille. Quelques expositions collectives ou individuelles s’en suivront…. 

« Ambiance Méditerranéennes. »  

Mai 2015.  Mairie du deuxième arrondissement de Marseille «Terre de soleil ».

Fevrier 2020 Avignon « Cueilleurs d’étoiles » 

Novembre 2017 Versailles « Entre mers et terres ».

Expositions collectives :  

Fevrier 2010 «Pour un sourire d’enfant ». 

Juin 2011 Salon des peintres et des sculpteurs – Palais Longchamp. 

Octobre 2013. Exposition à la mairie du 8ème arrondissement  de Marseille

Novembre 2018  « couleurs d’ambiance ». 

Mars 2019  Atelier Cézanne Marseille (67 ème prix de la critique).

Novembre 2019 Exposition Vœux d’artistes. 

C’est au travers de ce choix par  « Voeux d’artistes »  qu’elle s’est sentie légitime enfin dans ses choix.

Elle nous dit apprécier notre ville car elle aime bien les villes des bords de mer, la beauté des façades, la luminosité de celle-ci.  

On la comprends d’autres grands peintres ne s’y sont pas trompés de ceux du Nord qui sont descendus chez nous, jusqu’au grand « Cézanne et tant d’autres. »

Ses « Arlésiennes » ne sont qu’un pâle reflet de son talent. 

N’hésitez pas à prendre contact avec elle pour en savoir plus. 

 http:www.tiphainedebelenet .wixsite.com/ peinturesdebelenet 

 

L’idée d’un carnet de croquis à germé dans notre esprit et elle peut être fière du résultat accomplit. 

C’est au travers de  cette exposition que nous vous présentons cet exemplaire unique, et si nous aimerions, permettre à un plus grand nombre, de pouvoir le posséder, il reste un essai, comprenez que c’est une partie intime de l’artiste, car normalement, ces croquis étaient destinés à ses enfants et petits enfants.

  Nous sommes ravies de vous le présenter ce carnet de croquis, le soir du vernissage un peu comme un cadeau de sa part. Nous espérons vivement pouvoir le faire imprimer si nous avons beaucoup de commandes.

ArtsMarseille 06 80 98 52 70  instagram artsmarseille_ Fcbk artsmarseille.com 

Tiphaine De Belenet 06 84 19 48 77 instagram 

Et bien entendu la Maison Montgrand est heureuse de l’accueillir en son sein comme beaucoup d’autres artistes.

 

   
     
 

@artsmarseille.com

Muriel MONTAGARD PENICA

Muriel MONTAGARD PENICA

Muriel est passionnée d’art et notamment de peintures, puis de photographies, elle a  beaucoup arpenté les musées. Elle s’est essayée  à la peinture, pendant quelques temps.

Mais son média de prédilection reste  la photo souvenir doux comme un premier amour transmis, entre autre, par son père. Partage d’heures passées avec lui  dans la chambre noire, joli  temps de l’argentique.

Ce qui l’intéresse c’est l’humain, mini scénarios qu’elle invente ou qu’elle découvre, le hasard fait parfois bien les choses. Conter  une histoire susciter de l’émotion, est ce qu’elle recherche dans ses photographies. Elle alterne noir et blanc et couleur. Deux visions différentes, d’aborder la photo, proposant une autre dimension  intemporelle.

Son travail excelle dès qu’elle est dans la rue. Un simple aperçu ici, à retrouver d’une manière plus complète sur son site instagram et sa page Fcbk. Nous en retiendrons émotion et originalité un joli travail de qualité, à suivre absolument. Muriel Montagard Penica

@artsMarseille.com #LAFEMME2021 #femmesdu3èmemillenaire

https://www.facebook.com/marseilleinmyeyes/

https://www.instagram.com/marseille_in_my_eyes/

@artsmarseille.com

HANNIBAL RENBERG  leoleoparis

HANNIBAL RENBERG leoleoparis

Hannibal a pratiqué, la photographie argentique. Un Leica très jeune pour commencer. Son seul joujou est désormais, son phone pour capter les scènes de rue. Le fait d’utiliser un téléphone lui permet de prendre des instants de vie des « impressions de rue ».

Il faut néanmoins préciser que si nous sommes de plus en plus nombreux à utiliser nos téléphones nous n’en sommes pas pour autant des photographes.

Il ne faut pas confondre nos photos qui sont des instants de vie, et quel bonheur et le monde de la photographie. Encore moins les confondre avec celles nommées, à juste titre Artistiques, certaines  seront appelées, à perdurer, de manière si différentes, soit sur les murs d’une exposition, et nous le souhaitons; ou ceux d’un particulier, collectionneur ou pas, amateur de beau ou encore qui le sait, d’un musée, ou retrouveront leurs places, dans des portfolios ou des sites.

Alors comment faire la différence entre une photo d’amateur si belle soit-elle et les photos dites d’art.. .En fait, être photographe, c’est un œil particulier, être en capacité intellectuelle de saisir immédiatement le bon angle, la belle attitude, la pose. De les capter au sens de « captation » en « live »

Hannibal Renberg fait partie, lui ,d’une génération du tout numérique, mais si il est passé du Leica à son smartphone c’est d’abord en allant de surprise en surprise et en constatant la qualité des photos, bref que son oeil était aussi certain malgré le changement d’appareil.

Emile Zola, Louis Aragon, Max-Pol Foucher, Pierre-Jean Jouve, Jean-Paul Sartre, Albert Londres, Blaise Cendrars et tous les poètes qui ont arpenté Paris ou Marseille ont écrit, décrit, raconté ce qu’ils voyaient, ce qu’ils ressentaient.

Hannibal Renberg s’est senti une même envie, toutes proportions gardées, avec le désir aussi de faire partager ses émotions, son humour, sa dérision par l’image. Ses photos intemporelles et hors de tout contexte local n’ont d’intérêt que par leque le spectateur leur porte. Un reflet de notre société. Sans autre ambition que d’étonner …
De faire passer des émotions de revenir à l’essentiel.

 

@Les Docks Village @ArtsMarseille.com  #artsmarseille @leoleoparis Instagram #photography #street #life #LaFemme2021 #Femmesdi3ème millénaire. #vie

CELINE SILVESTRE

CELINE SILVESTRE

Marseillaise d’adoption depuis 18 ans. Elle commence par observer et puis sort de sa réserve naturelle, pour appréhender la photographie de rue.

Son attirance est normale, elle s’y sent plus à l’aise libre d’elle même. Son appareil fait partie intégrante de sa vie. Toujours à portée de main. Ses balades l’emmènent vers des lieux magiques ou pas, car sa curiosité naturelle est toujours à l’affut d’un joli cliché pas forcement celui attendu mais celui qu’elle fera instinctivement.

Si elle y prends autant de plaisir, c’est parce qu’elle se laisse porter par ses envies, entre autre de saisir l’instant.

Tout ce qui s’offre à sa vue. Puis elle va s’immobiliser parfois, respirer, cadrer et déclencher. Et voilà ce qui nous donnera des photos aussi naturelles que faire se peut et d’une beauté folle des photos humaines. En quête d’une couleur, d’une lumière, d’une posture ou d’un mouvement. C’est une première pour elle, il a fallu la convaincre car elle est modeste et c’est justement ce qui m’émerveille chez elle.

Peut être viendra t-elle un peu ici, ce média n’est pas son univers et pourtant je peux vous assurer que son compte instagram est bien suivi.

Certainement parce qu’il y a beaucoup d’humanité dans ses clichés. À vous de voir mais si vous êtes Marseillais venez voir cette exposition sur #Lesfemmesdu3èmemillénaire #lafemme2021

@Les Docks Village @ArtsMarseille.com @Celine Silvestre. 

Volontairement pas de photos de l’exposition, juste histoire de vous donner l’envie de savoir comment elle a  représenté la femme…de son siècle .

@artsmarseille @celine silvestre  Instagram #photography #street

#LaFemme2021 #Femmesdi3ème millénaire. #couleurs #vie

EPHEMERE

Le projet « EPHEMERE » présenté ici sous forme de Work in Progress, est un projet en cours, personnel, et collaboratif.
Je vais le présenter en quelques lignes :

Pourquoi « EPHEMERE » ?

Ce projet n’a eu un nom que tardivement, « EPHEMERE » finalement comme une évidence, car tout ce que je fais sur ce projet est éphémère, la séance d’abord, qui ne dure que quelques heures, mais aussi le stylisme, toute la partie tissus, modelage, mise en forme est éphémère, une fois la séance terminée, les tissus reprennent leur place, sans autre forme que le travail de plissé qui les caractérisent.

Collaboratif, car plusieurs personnes travaillent ou sont à l’origine du projet:

Tout d’abord MLBL- ArtsMarseille.com qui m’a suggéré l’idée de travailler sur ce thème. Par son écoute, sa compréhension et connaissance de mon travail et de la photographie, sa croyance en mes capacités (comme celles de Claire et Véronique et comme celles des modèles qui m’ont fait confiance), par sa générosité, m’a aiguillé, m’a permis de donner un axe à mon travail, et finalement de vous proposer ces photographies.
Claire et Véronique des « Filles d’Hortensia », pour la réalisation des plissés, de leur aide, et de leur soutien depuis longtemps maintenant, et enfin les modèles qui sont toutes des modèles amateurs, mais de grande qualité, car ce sont grâce à elles que le tissus prend forme, se sont elles qui gèrent toute la partie stylisme du projet fiction de leur ressenti face au tissus.

La génèse d’ « EPHEMERE »

« EPHEMERE » est né du constat que je pouvais mélanger deux parties de mon travail photographique, à savoir le portrait est notamment le portrait de femme, et mon travail sur les tissus plissés qui a été réalisé à l’occasion de l’exposition « L’art des Plis » de Claire Raphaël qui m’y avait invité.
Le travail que je réalise sur ce projet, consiste à demander aux modèles, de s’emparer des tissus plissés que l’on me prête, afin de les mettre en forme, de créer et de trouver une esthétique (dans le mouvement, la pose, la forme qu’on lui donne et évidemment par la lumière) lorsqu’il sera porté par elles. Mettre donc en valeur le tissu, mais également mettre en valeur ces modèles par le tissu qu’elles portent en essayant de faire quelque chose de différent à chaque fois. De mon côté, une fois le stylisme validé, il me revient la tâche de mettre le modèle et le tissu en valeur sous mes lumières, et par mon approche, mon regard et ma sensibilité.

Chacun de ces éléments compose la photographie que je réalise, et sans l’un de ces facteurs, elle n’existe pas !

 

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