Félicitations Hannibal !

Hannibal Renberg a redéfini l’art de la photographie de rue en capturant l’essence de la vie quotidienne dans les rues de Paris et de Marseille avec son iPhone. Je le suis en tant que commissaire d’exposition depuis 10 ans déjà et je suis tellement fière et enthousiaste de voir le chemin parcouru ! 

Qu’il s’agisse d’une silhouette solitaire marchant dans une ruelle ensoleillée ou d’oiseaux planant au-dessus des vagues, l’attention de Renberg aux détails et sa capacité à trouver la beauté dans la simplicité rendent son travail vraiment inspirant. Hannibal Renberg se distingue par sa capacité à capturer l’esprit de son environnement avec un sens de la spontanéité et de l’authenticité. Ses photographies de rue ne sont pas mises en scène ou trop retouchées ; au contraire, elles reflètent la beauté candide de la vie telle qu’elle se déroule. L’utilisation de son iPhone lui permet de se fondre parfaitement dans son environnement, ce qui facilite la capture de moments naturels et spontanés. Cette approche crée une intimité dans son travail, entraînant les spectateurs dans la scène comme s’ils en faisaient partie. Ses images sont une célébration de l’humanité et de la nature, mettant l’accent sur les liens entre les personnes, les lieux et le monde qui les entoure.

Le talent inspirant de Renberg et son approche innovante de la photographie de rue lui ont valu l’admiration des amateurs de photographie comme des spectateurs occasionnels. Son travail démontre que la créativité ne connaît pas de limites et qu’il est possible de créer des œuvres d’art remarquables même avec les outils les plus simples.En se concentrant sur la photographie de rue en noir et blanc, Hannibal Renberg s’est taillé une place unique dans le monde de la narration visuelle, offrant une nouvelle perspective sur la vie animée de Paris et de Marseille.

Ses photographies nous rappellent que la beauté peut être trouvée partout – il suffit d’avoir l’œil droit pour la voir.

En ce moment exposé à Bordeaux dans la galerie Neilag, il a fait l’objet d’un bel article paru dans le magasine en ligne 121 Clicks…

Accédez à l’article !

Un petit débriefing sur la conférence « De la Révolution aux pixels… » !

Lundi 7 janvier 2025, j’ai eu le plaisir de vous parler d’Art. A lire vos retours sur les réseaux et vos nombreux messages, je pense que vous avez été ravis d’assister à ce moment de partage et je m’en réjouis !
Je vous livre un de ces témoignages, celui de notre partenaire Cahiers de Provence.
« Si Je peins c’est pour la gloire « Ben. Ou « L’Art est le lieu de la liberté parfaite « je retiendrai la deuxième citation. « Ballade dans le temps dans l’histoire de l’Art depuis Gustave Courbet « le scandaleux «  qui osa la magnifique Origine du Monde et qui finit sa vie alcoolique et très pauvre , en passant par les impressionnistes Monet Manet puis Van Gogh puis les expressionnistes abstraits avec le talentueux et torturé Jackson Pollock les surréalistes avec Dali et sa muse @amanda.lear , le cubiste génial qui créa de son vivant 30000 œuvres Pablo Picasso , le pop art avec Andy Warhol affublé de sa légendaire perruque blanche , Ben l’artiste niçois et ses phrases en lettres blanches sur fond noir qui clamait « Si je peins c’est pour la gloire « , Rothko et ses peintures méditatives , en passant par l’art Pixel jusqu’à nos jours avec la création par intelligence artificielle ..Passionnante conférence menée avec brio par sa Commissaire d’expositions Marie Laure Bardy Moriniere @artsmarseille_ . Dans la très chic et historique Maison Montgrand à Marseille @maisonmontgrand_jardin avec la présence de l’archi-peintre @charly_bennici Charly Bennici @joelle.giordano.artetbusiness @studiocosteofmarseille @yhlphotographie et @cahiers_de_provence L’art interroge l’art dérange l’art casse les codes établis, l’art déconstruit l’art répare l’art est un business aussi .. l’art transgresse et traverse le temps , l’art est éternel . En fait la conclusion de tout ça : la grande question, c’est qu’est-ce que l’art contemporain ? si ce n’est des transgressions à travers les siècles est-ce que Courbet ne faisait-il pas déjà de l’art contemporain sans le savoir ? La contemporain n’est pas la révolution de l’art. ? Mais à force de déconstruire de casser les codes, que restera-t-il ?
Un grand merci pour ce joli post et ce soutien précieux chère Nadège !
CONF 01-25 AFFFICHE

Conférence

 

« De la Révolution aux pixels : l’épopée pétillante de l’Art Contemporain »

Mardi 7 janvier 2025 à 14h45 | Maison Montgrand – 35 rue Montgrand, 13006 Marseille

Dans le cadre de l’exposition L’ARCHI-PEINTRE, je vous invite à une immersion captivante dans l’histoire de l’Art Contemporain, de 1847 à nos jours. Explorez les révolutions esthétiques, les grandes figures de l’art et l’impact des innovations, des pinceaux aux pixels.
Cette conférence s’adresse à tous les passionnés d’art curieux d’en savoir plus sur les bouleversements créatifs qui ont façonné notre monde visuel. Une occasion unique d’échanger et de découvrir les histoires pétillantes derrière les œuvres.
Un grand merci à Charly Bennici, dont l’exposition continue de captiver les visiteurs, et à tous les partenaires pour leur soutien dans cette aventure artistique.
ATTENTION : nombre de places limitées !

Tarif : 15€ (galette des rois offerte)
> Réservez dès maintenant !

Et pour rendre ce moment encore plus convivial, partageons ensemble une délicieuse galette des rois en fin de conférence.
> Un rendez-vous culturel à ne pas manquer à Marseille !

Inscrivez-vous

Ou contactez-moi par sms au 0680985270

L'ARCHI-PEINTRE - flyer 2024

L’expo de Charly BENNICI est prolongée jusqu’au 31 janvier 2025.

Profitez du cadre exceptionnel de Maison et Jardin MONTGRAND pour découvrir ou redécouvrir le travail de l’Archi-peintre.

A très bientôt 35 rue Montgrand et joyeux Noël à tous !

Google (Noto Color Emoji 16.0)

Luxembourg art prize 24 SCOSTE

Le Luxembourg Art Prize 2024 pour l’oeuvre carrée  » Atlantis  » de Stéphanie COSTE

Chaque année, la pinacothèque du Luxembourg, musée d’art présidé par son fondateur Hervé Lancelin, organise un appel à candidature afin de  » révéler et promouvoir des artistes talentueux mais méconnus « .

Le LuxembourgArtPrize récompense les lauréats du concours et attribue un certificat de mérite artistique aux artistes les méritants. Stéphanie COSTE de Studio Coste of Marseille à reçu cette gratification pour l’année 2024 pour son œuvre  » Atlantide « .

Je lui renouvelle mes félicitations et mon soutien et suis heureuse que d’autres professionnels reconnaissent son talent et le lui disent !

Découvrez le site du musée : www.luxembourgartprize.com
Et retrouvez le travail de Stéphanie COSTE sur son site, www.studiocosteofmarseille.com, et sur compte Instagram studiocosteofmarseille

Vous lui écrire à studiocoste@free.fr

L’archi-peintre Charly  BENNICI arrive à Montgrand !

Sa peinture est organisée grâce à des lignes de force et des lignes directrices volontairement accentuées, permettant de structurer la composition du tableau.
Ces traits de construction, ces fuyantes de perspectives, ces lignes tranchantes noires, donnent toute la puissance à son travail.
Un attachement géomètrique qui découle probablement de ses années d’activité d’architecte,
‘exploration de la couleur et de la matière depuis de nombreuses années, le style de Charly Bennici est rapidement identifiable.

A voir du 24 novembre 2024 au 12 janvier 2025 sans modération !

AFFICHE EXPO MONTGRAND STEPHANIE COSTE
La cristallisation du génie
Ladyml et le cygne

Elle c’est Stéphanie, jolie petite jeune femme .
Un bonbon de mes années d’enfance ceux que j’allais piquer dans les bocaux de grandma.
De la guimauve toute rose et douce .De la douceur, oui elle sait jouer avec les couleurs s’amuse, s’invente son propre imaginaire et nous le restitue en couleur .

Sa palette est dans une dominante de rose certes …
Mais essayez le rose dans votre vie
Vous verrez à quel point cette dominante remonte moral et, est favorable à la joie ….

J’ai l’honneur d’avoir rencontré cette jeune femme grâce à mon ami Lionel Sauzereau
(Artiste de son état. Sourire )…
Qui lui avait ouvert un espace dans sa Galerie de la Valentine …
Et je me souviens être passé en coup de vent
« À l’arrache comme disent les minots »…
Et de lui dire ….
Je souhaite ses coordonnées Lionel !

Un acte de générosité en amène à un autre
À deux jours de l’exposition…. Oups!!!

Nous avons parcourus tout Marseille pour retrouver ses œuvres via la Belgique et l’insouciance du livreur peu sérieux c’est presque un euphémisme.

Remarquez l’amusant dans l’histoire maintenant que c’est résolu … C’est de piger que les quartiers Sud sont livrés dans les quartiers Nords
Pour ce qui ne connaissent pas Marseille c’est le parcours d’un combattant ….
Alors ça fait réfléchir…
La galère doit être identique pour eux …
Cela m’a permis de mieux comprendre certaines révoltes des minots …
Nous avons remerciés les personnes qui nous ont aidés. Façon Sherlock.

Je voudrais souligner la gentillesse d’un autre Artiste.
Merci François Mouren-Provensal pour ta réaction en nous prêtant du matériel introuvable…
Nous te devons une fière chandelle ….

Pourquoi narrer tout ça
Parce que les vrais artistes, les vrais poètes, quand ils sont solidaires entre eux créent des ponts merveilleux.
On peut se souvenir des débuts de certains et la solidarité d’autres.

Parce que l’argent n’est pas le seul moteur pour regarder un artiste …
Parce que loin de se faire de l’ombre, on enrichit le monde de ces partages …
Les cimetières sont remplis d’artistes irremplaçables… lol
Pfffft ..
Cela rejaillit avec bonheur sur l’ensemble des humains …. Même si ils ne sont pas artistes.

« L’art sauvera le monde ».
Le beau enrichit le monde…

Je suis peu riche maintenant mais, comme me le disait yo-yo Maeght, nous sommes riches d’humains exceptionnels de rencontres fabuleuses .

Je sais, ça ne paye pas un loyer l’amour mais ça paye largement en retour par tant de bienfaits …

Merci Stéphanie pour ton génial travail artistique et ta grandeur d’âme, pour ton aide précieuse et efficace sur un sujet qui me préoccupait grandement… le site ….

MLBL, le 26.10.24

Affiche de l'exposition de Gaëlle GOEAU à Maison Montgrand
Oeuvre GAËLLE  GOEAU
Oeuvre GG 2

Le surréalisme,  pourquoi commencer par-là ? Le rejet de la réalité ? Sûrement,  l’inspiration est toujours fécondée par le rêve. Le rêve est-il un rebelle enfoui dans le for intérieur des artistes ?

Marx ERNTZ écrivait : “Le surréalisme a créé une révolution »

La sortie de l’ancien monde, de l’horreur de la guerre, pour un monde meilleur. Il fallait créer, inventer, innover, faire tomber les barrières. Il fallait changer les codes ! Peindre dehors ? Fait ; créer à plusieurs ? Encore fait ! Il fallait donc aller au-delà de ce que l’œil voit, sonder l’imagination. Les impressionnistes avaient provoqué la première révolte face à l’académisme, puis la photographie a créé l’effervescence. À quoi ressemblerait le monde si nos rêves devenaient réalités ?  Je ne suis ni médecin, ni psy mais, je simplement et modestement amoureuse du travail des artistes.

Je suis issue de la photo et avant de la dorure sur les murs… J’ai réfléchi aux dessins du Paléolithique, leur imaginaire, la poésie de ces dessins resurgis du passé …J’ai vu la même chose en Australie. Les scènes de la vie quotidienne, à même la roche, jusqu’aux recettes de cuisine (humour) et leur interprétation du temps du rêve.

Comment regarder le travail artistique des surréalistes ? Quel rapport avec Gaelle ?

Revenons à Erntz, et aussi à Duchamp, Breton, Dali, Lautréamont, Baudelaire, Jarry et Picabia, même Picasso, et bien d’autre. C’est bizarre de pouvoir exprimer l’onirisme par la peinture, le surréalisme… Et why not ?

La création digitale est de mise de nos jours. L’IA va prendre une place importante. Avançons vers cette nouvelle interprétation de l’art, ne fusse qu’à petits pas. Afin de ne pas nous laisser dépasser. Frileux que nous sommes…

Et  si l’art pouvait nous permettre d’exprimer nos émotions pour les mettre sur un tableau ? Comme le fait Gaëlle. Un mur,  un dessin, un collage… ce sont ses outils pour exprimer son imagination.

Nous sommes loin des références et influences de Dali et Chagall, et pourtant le cerveau nous y conduit.  Et c’est réel et tangible face à vous. Regardez !

L’installation de cette artiste nous permet de suspendre le temps et peut-être se l’approprier. Les matières utilisées sont connues ou inconnues, aurions-nous la capacité de faire la même chose avec les mêmes ingrédients ?

Nous avons perdu le lien avec nous-même et nous ne nous écoutons plus,  nous allons toujours plus vite, toujours plus loin, cherchant le côté branché de nos artistes. Combien vont-ils vendre de créations ? On leur « colle » des cotes plus ou moins farfelues.

Pensez-vous que Bonnard, Van Gogh, pensaient à leur cote en ligne ?! Punaise, bien sûr que non ! Il cherchait à faire ressentir…

Et si nous cherchions à voir l’invisible dans le travail d’un artiste et pas forcément tout chercher à comprendre ? Faut-il découper en tranches un tableau ? Tout dépend de notre vécu, de notre sensibilité et… de notre portemonnaie.

Acheter de l’art est le plus beau cadeau que vous puissiez vous offrir !

Ici c’est Gaëlle,  un autre monde, un autre temps mais bien dans notre époque et dans son monde… et dans le nôtre donc !

Elle a fait les Beaux-Arts à Marseille, influencée à ses débuts par son professeur Georges Briata, ôtez moi du peu… Une femme joyeuse.

Hier je suis sortie d’un film sur Cezanne en pleurant. Tant d’approches, d’attente et n’être choisi que sur un tableau. D’ailleurs, de qui se souvient-on ? De ceux qui l’on rejeté, des hommes plus sérieux, de l’académie….Poussiéreuse.

Et les prix de nos jours sont impensables !!

Pourtant son travail sur la couleur était incroyable. Des pommes coincées avec des allumettes pour en faire ressortir les reflets devant la lumière de la fenêtre.

Faut-il laisser mourir les artistes sans aimer leur travail de leur vivant ? Et payer une fortune dans une vente aux enchères pour acquérir une œuvre à leur mort ? !

Je ne suis que passeur d’émotion mais je fais mon job ; comme si, par le prisme du lieu, je pouvais interpeller le monde ! Ouvrez vos yeux… je vous implore !

Vous n’êtes pas obligé d’aimer mais par respect venez !  Honorez les artistes de votre présence.

Est-il nécessaire de toujours attendre pour aimer et acheter ?

L’art est le fruit de la création libre, je crois que ça résume tout ce que je ne sais pas et continue d’apprendre y compris sur le surréalisme.

Allez hop ! On se fait une invitation, une conférence sur le sujet. Et j’irais découvrir d’autres pépites, juste pour le fun comme ils disent. Recréer du lien artistique entre les créateurs et le public les amateurs d’arts. Faire un point sur le monde de l’art…

Marseille, le 19 octobre 2024.

MLBL

LadyMLWinsley Diptyque

« Une Commissaire d’exposition est aussi une source d’inspiration…Un grand merci à Marie-Laure ! Toujours professionnelle, attentive et impliquée dans le parcours des artistes qu’elle guide et révèle. » – Stéphanie COSTE

Portrait en diptyque de Marie-Laure BARDY LAMORINIERE par l’artiste graphiste et photographe Stéphanie COSTE.

U R B A N S T Y L E

Habiller la ville dans le regard des photographes.

« Quand la ville est mise à nue par le regard intimiste des photographes… Une vision décalée des grandes métropoles … Vous en serez troublés. »

Tous nos artistes seront présents lors du vernissage.

Le 4 Mai 2017

A partir de 18H30

Au studio de la plage

197 avenue pierre Mendes France 13008 Marseille
du 3 au 13 Mai 2017

Cette exposition réunit huit artistes passionnés par la singularité urbaine et vous présente au travers de leur prisme un tout autre regard sur la ville. Ces artistes au travers de leurs œuvres seront exposés dans un espace de 155 m² totalement dédié au monde la photo depuis 1962, grâce à Henri Delleuse qui fut le premier à utiliser la photo couleur à Marseille et l’association «Léz’Arts de la Plage».

Le Studio de la Plage

La famille Deleuze évolue dans la ville depuis 1962.

Leur père henry à racheté dans les années 60 une ancienne usine locale de fabrication de pâtes située avenue pierre Mendes France face aux nouvelles plages du Prado de Marseille.

En 1962 ce photographe Marseillais fut le tout premier à utiliser la photo couleur sur la ville. Par la suite il se spécialisa dans les photos de mode grâce à ce procédé innovant. Puis il utilisa ses compétences pour des photos industrielles, comme la photographie est une histoire de famille les deux garçons reprirent le flambeau en le modernisant le studio et depuis ils continuent de l’utiliser pour des shootings, des reportages sur les artistes locaux et des portraits de famille.

Ce lieu magique et mis à notre disposition pour la période du 2 au 13 Mai 2017 nous sommes heureux de vous y inviter ainsi que les artistes qui acceptent d’exposer dans ce lieux original avec nous. Nous l’espérons et nous en sommes convaincus il est parfois des lieux qui permettent d’échanger avec les artistes en toute sérénité.

Les Artistes

La Galerie Jacqueline REGIS et MLBL Paris-Marseille vous présente :

Pierre Jean Amar, photographe – Patrick Andruet, photographe – Joël Assuied, photographe – Laurence Brazil, photographe – Olivier Dumonteil, reporter-photographe – Bernard De Tournadre, photographe – Henri Eskenazi, photographe – Hannibal Renberg, iphonographe

Pierre-Jean AMAR, photographe

Né en 1947 à a Alger. Il s’approche de la photographie en 1965 et devient professionnel en 1977. Passant de la nature morte au paysage. Puis avec la naissance d’Aurélien son fils, toute son attention photographique se concentrera sur lui. Il va le photographier pendant 20 ans. Il lui consacrera deux grandes expositions en 1990 et 2001 ainsi qu’un livre en 2001 aux éditions Filigranes.

Pierre-Jean Amar, vit et travaille dans le Vaucluse. Il a réalisé plus de 150 expos nationales et internationales depuis 1965. Parallèlement à son activité de photographe, il a enseigné «l’histoire de la photographie» à l’Université de Provence. Il a animé des stages de pratique photographique, il donne de nombreuses conférences et a dirigé «La Photographie» à Aix-en-Provence qui organisait des séries de conférences et des expositions puis à la Cité du Livre et au Pavillon de Vendôme d’Aix-en-Provence.

Patrick ANDRUET, artiste peintre

Artiste peintre marseillais, il manipule les images de la vie quotidienne. Sur la photo il ressemble à un corsaire mais c’est la gentillesse faite homme, épicurien, cuisinier hors pair. Depuis ses études d’architecte à l’école d’Archi de Luminy, il a fait beaucoup de chemin. Il ajoute à ses expériences la scénographie pour une grande manifestation de Paris en 2014 dans un premier temps, puis pour des théâtres, ensuite pour l’opéra jusqu’au Dôme pour Carmen, il en réalisa les décors virtuels.

Concernant son parcours artistique, tout a commencé par un accident de soudure, et «des éclats dans les yeux» sa vision s’est transformée, il voyait tout en lumière. La créativité qui est au fond de lui a trouvé la sagesse d’en faire «un Art». Il s’essaye sur le premier homme qui a marché sur la lune, un franc succès. Il continue donc en créant d’autres tableaux.

Grâce à un logiciel, qu’il est le seul à utiliser il mélange ses couleurs à la manière du pointillisme, puis il transforme ses photos, cultivant un style particulier – le sien – inspiré de la bande dessinée et du graff, il créé une œuvre où les images se décomposent en formes effilées, parfois violentes et sensuelles. Ses œuvres faites de libertés parlent de la société, elles s’inspirent du jazz, des images populaires, des livres de voyages, c’est ce qui la rend accessible à tous.

Sa technique : Partant de photos existantes ou personnelles, fruit d’un long travail d’assemblage et de recherche post-numériques, vient ensuite le travail graphique de l’artiste qui sélectionne, retouche, étire, effile, éclate son sujet. L’œuvre enfin aboutie nous transporte dans un rapport optique semi-réaliste vu au prisme d’un kaléidoscope rétinien unique. Patrick a une vraie sensibilité créative à la manière des grands, rien n’est impossible avec lui. Une immense touche d’humour vient compléter le tout. Pourtant son parcours professionnel fait de lui un homme on ne peut plus sérieux et ne fait en rien de l’ombre à l’artiste.

 

Site web : www.andruet.fr
Facebook : Patrick Andruet
Facebook : ArtofMarseille

Joël ASSUIED, photographe professionnel

Joël est un photographe professionnel marseillais. Initié à la photographie dès le plus jeune âge, sa passion pour l’objectif ne l’a plus quitté. Il en fait aujourd’hui son métier et travaille pour le compte d’entreprises et d’agences évènementielles depuis plus de 15 ans..
 

Après s’être essayé aux différents univers de la photographie, Joël s’inspire depuis plusieurs années de son environnement, des paysages, naturels ou urbains, qui font partie de son quotidien. Dans la Cité phocéenne ou ailleurs. il n’est pas rare de le croiser de jour comme de nuit au détour d’une rue ou d’un bâtiment, appareil en bandoulière. Autant de pérégrinations photographiques au fil desquelles il distille ses points de vue toujours pertinents et pose un regard différent sur ce qui l’entoure.

Les 6 photos sélectionnées pour cette exposition sont issues d’une série réalisée lors d’un périple, du Nord au Sud du Portugal. Ces images ont été réalisées à la gare centrale de Lisbonne, véritable cœur des quartiers modernes de cette ville étonnante et dont l’architecture l’a véritablement impressionné..

Laurence BRAZIL, photographe

Laurence Brazil a démarré la photographie vers l’âge de 20 ans par passion. Elle sait capter l’essence même de la nature et son regard sait aussi saisir à l’improviste les moments de vie qui s’offrent à elle tel un Robert Doisneau féminin.

Et pourtant après une longue période de rupture avec la photographie, à l’occasion d’une exposition, Laurence décide de renouer avec ses premières amours. Quelle bonne idée. La sérénité, le calme absolu, la captation de la vie vont évoquer chez elle un désir nécessaire de figer le temps au travers de ses prises de vue.
 

Laurence Brazil est aussi une artiste à part entière qui sait manipuler avec aisance les nouvelles technologies et réussit avec virtuosité à permettre la passation du virtuel vers notre monde gardant néanmoins l’âme d’une simple photo personnalisée. Une page Facebook qui rencontre un joli succès, puis INSTAGRAM et enfin sa première expo! Nous sommes heureux de l’accueillir parmi nous pour sa deuxième exposition.

Bernard De Tournadre, photographe

 
 

Bernard De Tournadre est photographe, il promène ses objectifs dans plusieurs parties du monde couvrant pour son propre plaisir d’aficionado le carnaval de tout les continents. Une autre passion l’habite. Il rejoint 6 ans durant les pérégrinations des bikers au grès du hasard et de son emploi du temps. Il revient néanmoins toujours à Marseille, sa ville et développe ses clichés. Ainsi nait un livre «Parenthèse» des textes de J. Kerouac, Philippe Labro, Dylan Dean Koontz viennent tatouer les images. Puis il explore le corps et lance des séances avec des modèles – danseur acrobate jongleur.

 

Jouer avec le hasard n’est pas, pour un photographe, une opération contre-nature. Au contraire. L’appareil qu’il tient entre ses mains se prête avec souplesse aux jeux voluptueux de l’instantané. Ouvert. Fermé. La part de seconde est happée. Le moment magique est dans la boite. Mais si l’outil est fidèle et sûr, le hasard, lui n’en fait qu’à sa tête. Le jeu n’est donc pas si facile. Et il faut au photographe, placé entre la boite noire et la vie qui va et qui vient, certaines qualités qui feront de lui l’intercesseur idéal entre le hasard malicieux et nous, pauvres aveugles au pays des milles et une vision.

Bernard de Tournadre a ces vertus qui permettent de convoquer le hasard. Une longue pratique de baladeur voyeur. Le regard affûté. La visée juste. L’art de la composition dans le cadre. Et à toutes ces qualités de traqueur d’insolite il faut ajouter un sens de l’humour qui est chez lui une seconde nature et qui lui fait deviner ce qui fera image cocasse au coin de la rue. Si le résultat photographique de ces instants piégés était seulement une tranche de hasard saugrenu, nous resterions dans l’anecdote. Dans le gag visuel. Mais il y a un art du hasard. Une matière indéfinissable de dépasser, ici sur le registre comique, la simple transcription du langage rieur des rencontres inopinées, des coïncidences joyeuses, des beautés fantasques de la vie ordinaire. Car les images de Bernard de Tournadre ne manquent pas d’élégance. Elles surprennent, amusent, font sourire, mais toujours avec le raffinement d’un amoureux de la lumière. Toujours avec la poésie tendre d’un amoureux de la vie.

Trottoirs, vitrines, affiches, cabines téléphoniques, ponts, statues, il n’y a rien d’extraordinaire dans ces décors de notre quotidien. Et pourtant chaque jour le hasard fantasque s’amuse avec nos gestes et avec nos images. Bernard de Tournadre est de ceux, rares initiés, qui déchiffrent pour nous le langage subtil de cet incorrigible plaisantin. La vie n’est pas une facétie. Mais Bernard de Tournadre, devin de l’inattendu et traducteur de la comédie visuelle, préférera toujours les angles farceurs aux angles morts.

Olivier DUMONTEIL, photographe

Olivier Le photographe aux célèbres bonnets. Photographe de Presse notamment pour Paris Match et le Parisien il préfère vivre de ses photos, les expositions lui apportent cette liberté qu’il aime tant. Ce marseillais possède le «Don» celui de capter la beauté, l’insolite, la force, l’humour, la sensualité, le temps d’un instant. Il offre un autre regard sur le réel, plein de vie, mêlant habilement dans ses prises de vue sa part de composition, de poésie.

 

Sa particularité, travailler sans retouches. Autodidacte, il a commencé à faire des clichés dès ses 17 ans. Depuis il ne quitte plus son appareil et son regard aiguisé se balade sans arrêt sur les villes, les gens, les situations.

Il nous avoue « J’aime le mouvement, la spontanéité, peu importe l’endroit. Il se sent proche des gens et je confirme il l’est.

Henri ESKENAZI, photographe

C’est un infatigable globe-plongeur, qui se passionne pour la photographie, prenant pour thème ses voyages et bien évidemment la mer et ses escapades sous-marines. En 40 ans, il a parcouru plus de 140 pays sur les 5 continents et essentiellement sous l’eau. Il souhaite faire partager son insatiable passion. Auteur de nombreux reportages et publications, conférences et de divers ouvrages, il aime apporter à la fois la connaissance et le rêve indispensables au quotidien.

Avec le temps qui passe, l’histoire des hommes, celle du ciel et de la mer, l’expérience s’installe peu à peu. Au gré des vents, le sel de son existence est à jamais mêlé à la découverte d’horizons lointains. Les lieux ont une âme: celle des vies passées. Amoureux de la terre, il relate sans se lasser, notre monde à la fois riche et secret, généreux et mystérieux, qui ne le déçoit jamais. «Le meilleur jour est le jour où l’on a envie»… Il faut dire qu’Henri est né en 1953 tout près de la mer entre la terre et le ciel bleu, sous le soleil, avec très peu de nuages autour de lui ainsi qu’un léger mistral pour se rafraichir à deux pas des calanques avec le chant des cigales en fond sonores ça aide.

L’expérience s’installe pour capter l’histoire des hommes, mais cette fois-ci il nous étonnera avec des clichés tellement différents. Son choix sur un événement qui restera gravé dans la mémoire de notre siècle vous montrera à nouveau sa sensibilité. Un sens de l’observation des paysages et des autres cultures, Henri nous apprend à voir avant tout . Il va vous étonner par ses nouveaux choix concernant l’urbain un homme aux multiples facettes, le conduisant après la plongée et les pôles vers l’URBAN STYLE. Epoustouflant et poignant.

Hannibal RENBERG, iphoneographe

Après avoir longtemps pratiqué la photographie argentique et réalisé lui-même ses tirages dans une petite chambre noire, Hannibal RENBERG n’utilise plus désormais que son Smartphone pour capter des scènes de rues. Tout comme Léon-Paul Fargue, il est un piéton qui déambule dans les rues de Paris, Marseille ou d’ailleurs, pour y débusquer l’inattendu voire le grotesque du quotidien. Diplômé de psychologie, son regard est constamment en quête des absurdités qu’ offrent une ville où se côtoie une jungle d’individus hors-normes.

Hannibal RENBERG s’empare de son IPhone pour capter les situations et les personnages les plus décalés en nous offrant la vision d’un monde aussi fou que désirable. Il a la volonté de faire partager ses émotions, son humour et sa dérision par ses photos. « J’aime particulièrement saisir le contraste entre des affiches publicitaires et des gens ordinaires » explique-t-il.

Depuis le début son art excelle et suite à plusieurs expositions il figure pourtant comme l’un des meilleurs «instagramers» du moment. Ce fabuleux photographe de rues figures dans le classement du prestigieux magazine «Forbes». Il fait l’objet de nombreux articles dans : La Provence, Le Nouvel OBS, Polka et Le Magazine Photo. Instagram

Instagram : leoleoparis
Site internet : www.hannibalrenberg.com